mardi 4 octobre 2011

Pourquoi les tavernes? (suite et fin)



L’institution | Véritable poumon social et mémoire collective de plusieurs quartiers montréalais, unique entreprise qui ouvre ses portes à 8 heures le matin pour les fermer aux petites heures, c’est un lieu où tout a commencé et se poursuit, grâce à l’arrivée d’une nouvelle génération de vingtenaires et trentenaires en quête de vrai.


L’ambiance | Endroit mythique de la culture populaire québécoise, où l’atmosphère peut, de prime abord, sembler noire et lugubre. Quelques minutes suffisent afin de sentir un climat quasi familial et une belle solidarité entre la clientèle et les employés.



Les alcools | Tout candidement pour les sortes de bières de nos ancêtres, celles qui ne sont plus en vente au dépanneur du coin (O'Keefe, Laurentides, Labatt 50) et pour les bucks pas chers.



Nombreuses sont mes inspirations et autres souffles créateurs. Or, j'ai décidé de vous en présenter trois:
Sunny Duval



En voici un extrait éloquent:
Errer de taverne en taverne. Incognito le cœur léger.
Laisser flotter les idées ternes. Quel beau feeling de liberté!






Dans le but de combler le faux historien en moi, pour mon prochain billet, je vous concocterai un bref aperçu de l'histoire de la taverne au 20e siècle.

Comment devrais-je l'intituler?

Slainte!*

*: Vous me posez la question : « Hein? ». La réponse ici.

2 commentaires:

  1. Le goût de la Brador revient tranquillement... Pour les pubs agaçantes, il y avait, dans les années 80, celles avec le boomer pour la Miller Lite. En voici toute une... Ayoye !
    http://www.youtube.com/watch?v=nLx0KygNLTA

    ;-)

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  2. Ayoye en effet, et puis sexiste par dessus le marché!

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